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Publié le VOIR: Live album review

Ceux qui auraient découvert Steve Hill comme soliste avec l’OSM en février dernier, alors qu’il donnait en création The Electric Candlelight Concerto de John Anthony Lennon, pourront mesurer le talent du bonhomme en solo. Oui, oui, le band que l’on entend, avec batteur, bassiste, guitariste et chanteur, c’est lui tout seul, et qui joue tout ça simultanément (avec harmonica en prime)! Le mec doit être dans une sacrée forme, parce que le résultat est franchement étonnant, mais en plus, c’est qu’il est bon ce blues du Sud, et qu’il donne chaud. Hill glisse quelques reprises dans son set de pièces originales, dont Hate to See You Go, de Little Walter (que les Rolling Stones ont reprise sur Blue & Lonesome en 2016) et Voodoo Child (Slight Return), d’Hendrix, presque plus vraie que la vraie. Oh ya!

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Publié le L’insatiable quête de Steve Hill

Trois-Rivières — Il ne faut pas se fier à l’image. Jamais. Avec sa veste de cuir, ses cheveux longs et sa passion pour un blues rock intense, l’image du Trifluvien Steve Hill ne suggère rien d’un homme d’affaires lucide et responsable ou d’un musicien d’une rigueur obsessive. C’est pourtant ce qu’il est, dévoré de l’intérieur par une passion absolue pour la musique.
À 43 ans, le musicien trifluvien vit présentement une des plus belles périodes de sa carrière. Son travail en tant que groupe à un seul musicien pour les trois albums de sa série des Solo Recordings a été louangé partout, lui valant notamment un Prix Juno du meilleur album blues de l’année en 2015. «Les critiques sont mêmes meilleures en Europe qu’ici», clame-t-il avec le sourire de celui qui a compris ce que cela signifie d’ouverture sur le marché international.

Il est présentement en tournée au Québec mais se rendra en Angleterre et en Allemagne en mai pour un mois de tournée où il jouera en première partie du groupe King King ou de Danny Bryant selon les endroits. Plus fort symboliquement, il jouera en première partie du grand Joe Bonamassa dans le cadre du Crossroads Festival, le plus gros festival de guitare en Allemagne, en juin.

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Publié le Journal de Montréal – Un travail de longue haleine

Steve Hill est un artiste méticuleux et perfectionniste. La preuve ? Il aura attendu une vingtaine d’années et investi d’innombrables heures dans l’écoute de ses différentes prestations avant de nous présenter son premier album live, The One-Man Blues Rock Band, en vente à compter du 11 mai.

« J’ai fait neuf albums studio et après, je partais en tournée. Chaque fois, j’enregistrais des shows dans le but de faire un album live, nous a-t-il expliqué en entrevue. Souvent, je les écoutais et je me décourageais. Ce n’était pas à mon goût. Je me disais toujours que ce serait pour une autre fois. »

Il y a un an, le musicien originaire de Trois-Rivières a finalement réussi à amasser assez de pièces pour pouvoir réaliser son projet. Malgré tout, il lui aura fallu un petit coup de pouce en provenance de l’Europe pour se convaincre de le présenter au public.

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Publié le Anna Popovic et Steve Hill, tout pour séduire

La succession de deux virtuoses, qui plus est disposant chacun d’une renommée bien établie, est prometteuse d’une soirée inoubliable. Le scénario s’est en effet avéré explosif, vendredi soir au Théâtre Banque Nationale, alors que le Festival Jazz et Blues de Saguenay avait réuni la fougueuse Ana Popovic et l’inimitable Steve Hill. À preuve, l’énergie surgissant de l’amphithéâtre bondé allait à double sens.

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Publié le Steve Hill en première partie de ZZ Top au Centre Vidéotron

Il est rare que ce soit des Québécois qui assurent les premières parties d’artistes internationaux de passage au Centre Vidéotron. Mais le 16 août prochain, c’est Steve Hill qui se chargera de chauffer les planches du groupe culte ZZ Top.

C’est grâce à l’équipe du Centre Vidéotron que le guitariste québécois pourra faire la première partie de ses idoles.

«ZZ Top est le groupe qui m’a donné le goût de jouer de la guitare, a déclaré le musicien. Eliminator et Afterburner sont deux des albums qui ont marqué ma vie, je suis évidemment très heureux de pouvoir partager la scène avec eux.»

Steve Hill lancera le 11 mai prochain «The One-Man Blues Rock Band», son premier album live en carrière.

Quant à ZZ Top, le trio texan s’arrêtera au Centre Vidéotron dans le cadre de la tournée The Tonnage Tour, amorcée en février 2017. Leur dernier passage à Québec remonte à 2013. Un arrêt est aussi prévu à la Place Bell de Laval, le 17 août.

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Publié le L’homme à qui l’Europe a tendu les bras

S’il y a une justice en ce bas monde, Steve Hill décrochera le Félix de l’artiste s’étant le plus illustré à l’étranger, l’automne prochain. Lancé il y a six ans, son spectacle en solo a pris une dimension internationale dont l’ampleur l’étonne lui-même. L’Europe l’a adopté avec enthousiasme, en particulier l’Allemagne et l’Angleterre, où le blues-rock qu’il affectionne l’amène à tourner de plus en plus souvent, de plus en plus longtemps.

Juste l’an dernier, celui qui assume les rôles de chanteur, guitariste et batteur sur scène, simultanément, a donné 80 spectacles sur le vieux continent. Plus d’une trentaine ont eu lieu dans la patrie des Stones et de John Mayall, un nombre équivalent au nombre de fois où le Québécois a joué dans des villes allemandes. À cet élan initial se sont ajoutés d’autres rendez-vous, si bien qu’en 2018, il sera plus facile de le voir ailleurs que chez lui.

« J’avais un plan. Dès le troisième volume de ma série Solo Recordings, je pensais aller à l’international, sauf que ça se passe plus vite que je l’avais anticipé, notamment en Angleterre. Après mon premier spectacle là-bas, trois agents m’ont soumis une offre et j’y retournerai pendant tout le mois de mai », a raconté Steve Hill il y a quelques jours, à la faveur d’une entrevue téléphonique accordée au Progrès.

Tournée reportée

L’une des conséquences de la forte demande en Angleterre tient au report de la tournée provinciale que le musicien comptait effectuer en mai, laquelle comprenait une escale à la Salle Desjardins-Maria-Chapdelaine de Dolbeau-Mistassini (11 mai). « Je m’y rendrai à l’automne », annonce-t-il. En revanche, l’agenda n’a pas bougé en ce qui touche mars et avril. Il jouera donc à la Salle Calypso de Jonquière (8 mars), puis au Théâtre Banque Nationale de Chicoutimi (20 avril).

« En Europe, j’ai le même agent que Joe Bonamassa, le bluesman qui attire les plus grosses foules ces temps-ci. J’ai signé avec une compagnie de disques en Angleterre, ainsi qu’un nouveau promoteur en Allemagne. En plus, je jouis d’une bonne visibilité dans les médias », mentionne Steve Hill. À ces atouts, il faut ajouter l’expérience acquise en solo, le fait que l’artiste maîtrise pleinement le créneau qui est devenu le sien.

C’est devenu sa marque de commerce, un élément distinctif qui l’a incité à renoncer temporairement à son projet de former un groupe. « Je pensais à le faire, mais ils veulent que je continue seul parce que ça va bien en Europe », confie-t-il. C’est donc en mode one-man-band qu’il se produira aussi en Italie, en France et en Espagne, tout en apparaissant en juin, en Allemagne, au Crossroads Music Festival.

Cet événement rassemble 12 000 personnes et la prochaine édition sera marquée, justement, par la présence de Joe Bonamassa, que le Québécois n’a jamais rencontré. « Le fait de me ramasser là après 18 mois, c’est extraordinaire. Comme l’Angleterre, l’Allemagne constitue un super bon marché pour le blues-rock », fait-il observer.

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Publié le Concert avec l’Orchestre Symphonique de Montréal

Le vendredi 16 février, Steve Hill sera en concert avec l’Orchestre Symphonique de Montréal (OSM) pour une expérience unique.

Une fois l’orchestre dissimulé derrière un rideau et la salle plongée dans l’obscurité, il ne vous restera plus que la musique pour vous faire planer dans l’ambiance des années 60 avec, entre autres, une création pour guitare électrique et orchestre de John Anthony Lennon.

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Publié le Steve Hill: la guitare démaquillée

Elles tonnent ou pépient sur scène pour combler nos oreilles. Mais certaines ont plus que des notes à partager: nous vous présentons cinq guitares de musiciens québécois sortant de l’ordinaire ou ayant une histoire particulière à livrer.

Étant donné l’impressionnant arsenal de guitares qu’a constitué Steve Hill (lui-même avoue en avoir perdu le compte!), l’homme-orchestre en possédait forcément quelques-unes qui sortaient du lot. Celle qu’il nous a présentée sortait plutôt du lit, où elle s’était couchée sans se démaquiller.

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Publié le Steve Hill: le summum du «one man show»

Toujours à la hauteur et au-delà, Steve Hill a fait frémir l’Impérial Bell à Québec mercredi soir avec la puissance de son rock-blues.

C’est devant une salle bien remplie que Steve Hill a offert une performance minutieuse et d’une qualité unique. Quelques soucis techniques ont pu souiller la soirée mais ce ne fut pas le cas, l’offre de Hill est bien rodée et la foule a bien appréciée.

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