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Publié le À la conquête de l’Europe

Les portes de l’Europe s’ouvrent pour Steve Hill. Son album Solo Recordings Volume 3 vient tout juste d’être lancé là-bas et il effectuera, à l’automne, une tournée en tête d’affiche.

Le chanteur-guitariste et homme-orchestre québécois est de retour, comblé et emballé, d’une série de 31 spectacles en Europe, en première partie de la formation britannique Wishbone Ash.

«J’ai donné 31 shows en 35 jours, traversé huit pays et parcouru 10 000 kilomètres. J’ai adoré ça et j’aurais continué durant un autre mois», a-t-il lancé lors d’un entretien.

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Publié le Steve Hill au sommet de son art

Steve Hill revient au Québec, cette semaine, après avoir bourlingué dans sept pays pour sa tournée européenne. Une tournée majeure de 30 spectacles en 34 jours. Ce spectacle attirant les foules s’arrêtera à Vaudreuil-Dorion, le 3 mars prochain, au théâtre Paul-Émile-Meloche dans la programmation de VSOUL.

Connu comme un grand guitariste blues, Steve Hill est un artiste à part entière. Depuis quelques années, il s’est lancé dans un projet un peu fou : celui d’homme-orchestre. L’aventure a débuté il y a cinq ans alors qu’il n’avait plus envie d’être seulement un musicien accompagnateur et que son album Wiplash love n’avait pas fonctionné. Le musicien a trouvé que le timing était bon.

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Publié le Cinq questions à Steve Hill

Le guitariste blues Steve Hill sera de passage à Châteauguay le 17 février pour une performance solo. Il a accordé une entrevue au Soleil de Châteauguay depuis l’Allemagne, alors qu’il terminait une tournée «marathon» à travers l’Europe avant son retour au Québec.

Comment se passe votre tournée en Europe ?

C’est une tournée qui garde en forme. J’ai fait 30 spectacles en 34 jours dans sept pays. Allemagne, Pologne, France, Belgique, Hollande, Autriche et Suisse…

Dans quel contexte le projet des trois volumes de Solo Recordings est né?

Le solo était un side project que j’avais en tête depuis longtemps, mais je n’étais jamais prêt. Puis il y a cinq ou six ans, un ami a proposé de me vendre une vieille Gibson des années 50. Je n’avais pas les moyens de l’acheter, alors il me l’a offerte en échange d’un spectacle solo dans sa ville.

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Publié le Blues Blast Magazine – Solo Recordings Volume 3 Review

In his native Canada Steve Hill has established quite a reputation as a one-man band, receiving nominations for Juno awards as well as winning the 2013 IBC award for best independent album for the first of his solo recordings. This is volume 3 in the series and is literally all Steve, no overdubs, no extra personnel. But do not go thinking that this is another solo acoustic album, as Steve plays plenty of heavy guitar, accompanying himself on two pedal drums and assorted percussion, including some hit by a stick taped to the neck of his guitar! At times the sound is almost heavy rock, as on opener “Damned”, or churning blues-rock like “Dangerous” though there are some acoustic tracks, including the fetching love song “Emily” on which Steve plays some delicate guitar or “Slowly Slipping Away” where Steve also plays some harp and provides a very convincing vocal on a song that takes as much from the folk tradition as the blues. However, Steve’s stock-in-trade on this album is the heavier tunes and “Rhythm All Over” is perhaps the pick of those with Steve playing a throbbing bass line as well as the core riff. Steve closes the album with the moody “Walking Grave” which features some torrid slide work and some dark lyrics: “I rise up from the dead, let the seed become a flower”.

Most of the songs are originals, either written by Steve alone or in partnership with J. Parlett. There are three covers which provide an insight into Steve’s influences. A medley of “Still A Fool/Rollin’ Stone” provides a gritty take on two of Muddy’s best known tunes and Steve repeats the trick with “Rollin’ & Tumblin’/Stop Breaking Down”, here credited as ‘Traditional’ though most blues fans would probably see these as Robert Johnson tunes. Steve’s slide work at the start is terrific before he picks up a frantic pace on his kick drums to drive the song along. In complete contrast Steve’s version of “Going Down The Road Feeling Bad” is a lovely acoustic reading of the song that takes the tune back to its country/folk/blues origins, different from the Grateful Dead version that most of us will know – another standout track.

Steve’s ability to produce such a rich sound all alone is impressive and this album offers the variety of both acoustic and full-on electric music so will contain something for all tastes.

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Publié le Steve Hill : le talentueux homme-orchestre au Festival des guitares du monde

Dans le cadre du Festival des guitares du monde, le guitariste Steve Hill présentera son neuvième album, dimanche, au Centre des Congrès de Rouyn-Noranda.

Steve Hill poursuit son aventure solo en présentant Solo Recordings Vol. 3.  L’homme-orchestre joue batterie, guitare, harmonica, cymbales, en plus de chanter.  Un univers dans lequel il excelle.

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Publié le Steve Hill @ Sherbrooke

Il s’agit d’un phénomène, un virtuose. La révolution de l’homme-orchestre est arrivée. Il s’agit de l’homme «Rock’n Blues Band». Un dur à cuir au niveau musical. À lui seul, Steve Hill cache derrière lui un band complet… euhhh je me reprends. Il ne le cache pas du tout derrière lui, mais se tient plutôt derrière son groupe. En avant-scène, ce sont les percussions qui dominent avec le kit de drum à ses pieds. À son coup s’accroche l’harmonica qui réchauffe le blues de ses guitares. La guitare basse… et bien pour Steve Hill c’est son pouce qui fait le tout pour enrichir le bassdrum.

Steve Hill ne joue pas de la musique. Il danse la musique. Il chante la musique. Il parle avec sa guitare. Il faut le voir parler intensément à cette dernière lors de ses nombreux solos en mode distorsion pour entrevoir son monde. Il tombe en transe et nous y amène. J’irais même jusqu’à dire que lui et sa guitare sont possédés tellement il y a de notes qui en sortent. Cela expliquerait sa capacité à faire résonner ses cymbales d’un coup de manche de guitare alors qu’il chante et tient le rythme.

Au-delà de tout ça, il y a un gars intègre, souriant et sympathique. J’y ai vu un artiste simple qui aime son public et qui partage avec transparence sa passion pour nous la faire vivre. C’est assurément un gars qui ne laissera jamais rouiller ses cordes de guitare. De toute façon au nombre de notes à la minute qu’il nous livre, ses cordes doivent être usées en moins d’une soirée. Alors si je peux me permettre de reprendre son idée et de vous donner un conseil, n’écoutez pas ce type d’artiste en streaming sur internet. Ce sont des passionnés qui en donnent plus qui n’en reçoivent. Chaque album, chaque spectacle, chaque article promotionnel vendu permettent de poursuivre leur route et nous faire vivre ce genre de soirée mémorable comme j’ai vécu en ce 21 avril 2016 au Granada de Sherbrooke. Alors je terminerai sur une seule et simple note…

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Publié le Steve Hill, le virtuose à tout faire

Quand on évoque le nom de Steve Hill, c’est d’abord au guitariste que l’on pense, mais plus que jamais, le musicien est devenu un redoutable homme-orchestre. On pouvait en juger hier, au Petit Champlain, alors qu’il présentait le matériel de son récent album, Solo Recordings Volume 3.

Steve Hill, c’est notre Jeff Beck, notre Joe Bonamassa, notre Rory Gallagher. Il aurait poussé quelque part aux États-Unis ou en Angleterre et il y a fort à parier qu’il serait un nom incontournable du blues rock, qui jouirait d’une carrière internationale. Au Québec, la réalité est forcément différente, or il a su trouver dans son aventure d’homme-orchestre une manière de rejoindre efficacement le public. À preuve, il n’a pas rempli un, mais deux Petit Champlain complets (il revient samedi soir).

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Publié le STEVE HILL : COMME UN SEUL HOMME

Avec une récolte de sept trophées depuis deux ans aux Maple Blues Awards et d’un prix Juno en 2015 pour le meilleur album blues, Steve Hill, le guitariste québécois caracole au sommet du blues canadien d’un océan à l’autre. Et ce n’est que le début.

La raison de cette reconnaissance? Les quatre tomes autoproduits par Steve Hill intitulés Solo Recordings, Vol. 1, Vol. 1 ½ (EP), Vol. 2 et le Vol. 3 paru il y a quelques semaines, ce qui porte à neuf le nombre de disques publiés en vingt-cinq ans de carrière par l’épatant guitariste qui a trouvé son point de salut avec un inestimable filon exploité en solitaire.

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